Frustre
il est tard et c’est toujours désagréable de se retrouver devant son écran à une heure tardive pour écrire un message.
La pluie tombe, une nouvelle vague de froid s’installe, certains rêves sont incertain, et les embellies ne suffisent pas à masquer les nuages, le temps passe, le vent souffle et les drapeaux claquent.
Une jolie fleure c’est mise à l’abri, mais ce n’est qu’une illusion, elle n’a pas poussé là sur cette terre aride et froide, ses racines ne trouverons aucune prise sur ce caillou dégarni, juste un abri pour attendre la fin de la tempête.
Les murs creusés, les pierres usées par un vent qui ne fait plus chanter le temps qui passe, il faut regarder ailleurs quand souffle les tempêtes, car regarder le passé et ces journées ensoleillées ne sert à rien, le présent malgré les douleurs naissantes, malgré les regrets est encore là et il sera bien temps d’abandonner la partie, il sera bien temps plus tard …
massue
les jeunes filles semblent parfois insouciante, les vieux messieurs beaucoup moins, surtout ceux ayant raté leurs heures, ceux là accables les précédentes de mauvaises pensées, donc, malgré tout et bien souvent les uns les autres se croisent sur des chemins ou les cailloux épars endommagent les pieds, douleurs qu’aucune crèmes, qu’aucun remède ne sauront soigner, mais il est juste que chacun trouve sa chacune, et parfois les compléments se font plus qu’étrange, et je vois qu’il en va ainsi de la vie.
sur ces chemins là il faut être très attentif car le danger guette, pour les uns comme pour les autres, les plus aguerris comme les plus tendres se font surprendre et regrettent parfois je dis bien parfois leur aventure, qui deviendra dans le cas contraire avec le temps et de la bonne volonté, un souvenir chéri.
Quoi qu’il advienne il faut gouter le bonheur qui passe.
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