Une fin de journée en septembre en 2000 à l’aéroport Charles de Gaulle / l’atmosphere de pluie et de moteur est bruyante, triste et ralentie / avec un soupçon de violence et de stress / les reflets peinent à transcrire les drames et les joies qu’ils soutiennent / se faufiler entre les gouttes dans le flot incessant des rêves pour rester heureux dans le réel
la ville chargée ne laisse que peu d’espace