07-06-22 piscine et j’accroche des histoires pas finies

Ce soir, j’ai bossé sur le site en finalisant le modèle de réservation, j’ai encore quelques traductions à finaliser ainsi que quelques paramètres, mais je pense sérieusement proposer ce module au Cercle et au Club de Hockey de Dijon … Sinon la journée à commencé tôt, avec ma Chérie nous nous sommes réveillé vers six heure et nous avons somnolé jusqu’à sept heure quarante, puis routine, petit déjeuner, en attendant d’accompagner les enfants à la piscine du Carrousel
En allant rejoindre le bus nous avons vu que la fontaine de la place de république était pleine de mousse ce qui n’a pas manqué de choquer quelques esprits étroits : c’est sale, dégoutant et moche, pardon, sale et dégoutant ? C’est du bain moussant, ou du gel douche donc ta toilette haaaaa sacré Simon, et puis moche ? Oui comme la neige en ville et puis le beau le moche, ce sont des valeurs tellement subjective … Bon bref, sinon, le même Simon et Madame Moulin surveillent Angelo comme le lait sur le feu, car la dernière fois, à la piscine, il a été à l’origine d’un pétage de plomb d’Edy, mais le vrai problème, c’est qu’eux même sont incapable de tenir un gosse de dix ans perturbé et à qui ils ont fini par laisser faire ce qui l’avait perturbé et avec qui Angelo s’entend plutôt bien. Bref accompagnement activité piscine avant le repas avec ma Chérie : un délicieux poisson avec des haricots plats … Mmm merci Chérie. 
J’ai eu du mal à m’endormir pour la sieste, et du coup la sonnerie m’a mis dans un état de stupeur. J’ai foncé au boulot pour treize heure. Après-midi routine quelques réglages, quelques problèmes en gros, j’ai oublié ce que j’y ai fait. Retour à la maison et soirée tranquille. 
C’est étrange parfois, j’aurai des tonnes de choses à dire et pas le temps comme pour les chroniques de “l’oiseau d’Amérique” ou celle de “Berlin Alexanderplatz”, ou j’aurais aimé aller plus loin (peut-être un jour) et parfois, j’ai un peu plus de temps et rien ou pas grand-chose qui vient. 
Si, tient, une chose ce matin, j’ai eu une bribe de roman qui a germé dans ma tête. Dans un univers dystopique, genre l’oiseau d’Amérique, une femme sur le portrait de Marilena se réveille et passe ses examens physiques avant de remettre une combinaison absolument étanche. Dans ce monde il n’y a plus aucun rapport entre les hommes et les femmes, ils vivent dans des mondes séparés et tous les mois les femmes subissent une opération de routine pour prélever leurs ovaires. Une fois par mois les hommes, eux, passent une sélection particulière faites d’exploits physiques et intellectuels au bout duquel le gagnant a le droit de faire le don de sperme de sa vie. Ces prélèvements et ces dons sont ensuite envoyés dans une couveuse d’où sortent tous les habitants de la ville. Donc Marilena, après avoir passé ses examens se rend à sa fonction éducative. Mais suite à une malencontreuse panne elle se retrouve dans un désert dans lequel vivent les Zotres un peuple en harmonie avec la nature, mais avec un taux de mortalité bien évidemment très haut, bref la “confrontation” pouvait être très drôle.  
Pendant que j’y suis cela me rappelle cette pièce de théâtre que j’avais initiée il y a plusieurs mois et que j’ai fini par oublié. Un couple rentre du boulot et développe une routine quasiment identique tous les soirs. Lors de ces routines, un vase se casse et l’un des deux personnages ne peut plus aller travailler, s’établit alors une nouvelle routine. Sauf que leur univers commence à se fissurer, le personnage qui reste à la maison devant la télé, finit par voir une personne issue de la télé s’installer chez eux. Quand ils sont tous les deux, la personne retourne dans la télé. Quiproquo dans le couple. Rapport compliqué avec le nouveau.