Comme un vide qui se creuse. Comme des patates dans le cœur. Comme une vie qui part en fumée. Des envies de pleurer sans raisons. Des raisons qui s’ignorent. une peau abandonnée sous des tissus synthétiques faits par des machines. des machines conçues pour broyer le vivant. Le vivant qui pleure des larmes dessalées. Des larmes sans goût, dégoûtantes. Des fleuves écœurants de sentimentalismes. Mentalité de pauvres, de losers, de perdants. De père en fils. Ascendant descendant. Je n’en peux parfois plus.
Étiquette : amour
-
Pardoname
Pardon, j’implore ton pardon, car tu as raison, mille fois raisons: pour apaiser ses souffrances et se rassurer, dans notre monde commercial, il est plus facile d’acheter un paquet de clope à un inconnu et être heureux que de demander un doigt dans le cul à la personne qu’on aime.